DANIEL BOLLIGER
Conservateur
Né en Suisse, Daniel Bolliger a étudié la photographie, le traitement de l'image et les beaux-arts à la Zürcher Hochschule der Künste (ZHdK), ainsi qu'en échange avec la Kunstakademie Düsseldorf, avec Thomas Ruff comme mentor pour une exposition au NRW-Forum de Düsseldorf. Il a effectué ses études de master à la School of Visual Arts de New York City. Son travail de fin d'études y a été nominé pour les Adobe Achievement Awards. La remise des prix a eu lieu à Pékin. Ce travail a suscité un grand intérêt au niveau international et lui a permis de percer professionnellement.
Daniel Bolliger a longtemps vécu à New York, Los Angeles et Londres. Il travaille depuis des décennies au niveau international en tant que photographe, spécialiste de la post-production et directeur de création dans le domaine de la publicité et de l'art.
À New York, il a travaillé pour Gloss Studio, une entreprise de services de premier plan dans le secteur des médias, qui compte parmi ses clients un certain nombre de sociétés influentes et de multinationales. Parmi eux, Gucci, Dior, Louis Vuitton, Armani Exchange, Alexander McQueen, IWC Schaffhausen et bien d'autres. Il a également travaillé pour des photographes de renom tels que Steven Meisel, Craig McDean, Mikael Jansson, Josh Olins, Terry Richardson, etc. et des personnalités comme Bruce Willis, Robert Redford, Christy Turlington, Jennifer Lawrence, Kate Hudson, Lewis Hamilton et Shaun Ross. Le travail de Bolliger est paru dans des publications telles que Vogue, i-D, DAZED, WSJ, Schön !, Master Mind : Art Direction et Visionary Photography, entre autres.
Daniel Bolliger vit actuellement à Zurich et travaille comme directeur créatif & motion designer chez Imaculix AG dans le domaine du film, de l'animation et du cinéma. C'est avec une grande passion qu'il poursuit son rêve d'enfant d'étudier l'animation.
"Je m'intéresse aux travaux progressifs. De manière classique, sous forme de photographie, mais aussi de manière plus excitante, à l'interface des nouveaux médias et des nouvelles technologies. L'important, c'est que les travaux aient de la profondeur - et un message. Et qu'ils soient visuellement captivants. Aussi profane que cela puisse paraître, une bonne image reste une bonne image".